[Sociologeek] : DAMN THAT’S GOOD

Here we go again !!!!

C’est apres un déménagement mouvementé, une attente interminable d’avoir ma ligne internet active, que je reviens pour un nouveua Sociologeek !

ET DAMN THAT’S F***ING GOOD BUDDIES !

C’est bizarement avec beaucoup de philosophie que j’ai pris le temps d’attendre ma ligne internet. Et j’ai philosophé pas mal sur le désir de socialiser.

J’ai eu l’occasion d’être en soirée récemment avec des gens que je ne connaissait pas (Sauf un, celui qui m’a invité évidemment). Après  m’être rendu compte que j’était le seul geek de la soirée, je me suis dit qu’il fallait donc prendre un peu sur moi et jouer le mec standard.

J’ai donc joué le jeu, et me suis fait surprendre.

Un peu comme un Dexter simulant toutes ses émotions, j’ai évité toute remarque ou attitude ou gimmick geek.

Et je n’était vraiment pas le seul. C’est assez surpris que je me suis rendu compte que je n’était pas le seul à jouer la comédie.

Rire à une vanne vraiment pourrie, un humour trop banal, presque propre, parler de la vie, de la météo, du dernier rebondissement de Plus belle la vie, et trouver ça trop génial, comment peut-on supporter toutes ces conneries ?

Alors pour voir, je me suis mis à donc socialiser sur des sujets banals, et trouver ça passionnant. Et vous devinerez jamais dudes.

Une pouf a voulu se taper le Rodrigo. Non mais sans dec.

J’ai socialisé, socialisé, et presque « ciblé » la pouf basique, standard. Et après l’avoir entendu débiter 4000 conneries par verre de champagne rosé, elle m’a complimenté sur des choses totalement débiles : « Ho j’adore ce t-shirt, c’est trop Urban ! » (j’avais mon T-shirt Minecraft quoi …) qu’elle m’eu fait la proposition qui choquerait un Ned Flanders anxiolytique. Appelez ça faire le Bim Bam Boum, le Hum Hum, le n’guru n’guru, ou autres.

Et j’ai rit. HO MON DIEU ce que j’ai rit. Elle, pensant que j’agissait comme un mec surpris par la proposition, et moi, riant au possible pour me dire qu’il en faut peu pour séduire une nana qui ne sait que parler de Twilight (à 23 ans)

Et on dira aussi (parce que maintenant je simule très bien le standard-guy-gentleman) que je ne suis pas allé au bout, et j’ai laissé notre amie à ses cocktails improvisés.

Alors ouais, trouver une geekette c’est super hard et la plupart des geeks sont célibataires.

Mais quand je vois la pouffitude chez les nanas « normales » je me dis qu’on est bien mieux en solo qu’accompagnés de ça guyz !

VULCAIN !