Un énième hommage à la borne d’arcade la plus adulée de tous les temps ! Et en musique s’il vous plaît !
La team de 3Dduo nous a gentiment proposé d’offrir une invitation aux lecteurs de KMG pour le Leelh Bar du 1er mars !
Le Leelh Bar, c’est une rencontre programmée entre l’équipe des développeurs de Leelh et les joueurs du WMORPG.
La précédente session avait toutefois eu tellement de succès que, cette fois-ci, la rencontre se fait sur invitation.
Kanjy, le CCM de Leelh qui nous avait déjà fait le plaisir d’une intervention sur KMG, m’a ainsi proposé de venir à cette soirée accompagnée d’une personne supplémentaire.
Oujiz n’était pas de Lille, il ne pourra pas faire le déplacement, mais si certains d’entre vous aimeraient venir, Kiss My Geek vous propose cette opportunité !
La règle de ce mini-concours est tout simplement de laisser un commentaire à la suite de ce billet stipulant que vous êtes intéressé ! Pour ce faire, vous avez jusqu’au samedi 27 février, minuit heure française. Le vainqueur sera tiré au sort !
La deuxième session du Leelh Bar aura lieu Lundi 01 Mars dès 19h aux studios 3dDuo de Lille (35 rue de la Justice à Lille ~ Métro Wazemmes). « Graphisme et Univers » est le thème de cette soirée. Ce Leelh Bar est placé sous le signe de l’échange et de la discussion (et de la bière bien sûr). Vous aurez également la possibilité de prendre des clichés, de réaliser des ITW sur place, etc.
Vous trouverez plus de détails juste ici.
Nous vous prions par avance de ne participer que si vous avez les moyen de vous déplacer à l’évènement, bien entendu ! 😉
Faites vos jeux !
Ceci n’est pas un fake ! Le premier Musée du Jeu Vidéo français ouvrira ses portes le mercredi 14 Avril 2010 à la Défense. En voici le logo communiqué par la presse (on notera d’ailleurs le choix surprenant du rose comme couleur secondaire) :
J’ai découvert cette nouvelle étonnante sur la page Facebook Le Dixième Art : le jeu vidéo :
OUVERTURE OFFICIELLE DU PREMIER MUSEE DU JEU VIDEO EN FRANCE
Le mercredi 14 Avril 2010Le Toit de la Grande Arche de la Défense en collaboration avec l’agence de communication Alerte Orange accueille le Premier Musée du Jeu Vidéo en France. Il ouvrira ses portes au sommet de la Grande Arche le mercredi 14 Avril 2010 à 10h.
Le Toit de la Grande Arche, déjà à l’initiative du Premier Musée de l’Informatique initié par M. Philippe Nieuwbourg a sollicité l’agence Alerte Orange suite à l’exposition « Retrogaming : 30 ans de jeux vidéo » qui a eu lieu l’été dernier à Paris. En effet, cette exposition à l’initiative de l’agence a rencontré son public et a suscité l’intérêt de tous.
Soutenu par le Ministère de la Culture et de la Communication dans le cadre de l’appel à projet 2010 Services culturels numériques innovants, par Cap Digital, NRJ, Game et de nombreux autres partenaires, le Musée du Jeu Vidéo prendra naturellement place aux côtés du Musée de l’Informatique et sera ouvert 7 jours sur 7.
Ce premier espace entièrement consacré aux jeux vidéo se veut accessible à tous et propose de retracer son histoire à travers ses consoles les plus emblématiques mais aussi des machines méconnues. Plus de 200 pièces seront ainsi présentées aux visiteurs. On y trouvera aussi des portraits de créateurs de jeu et d’icônes de la Game Culture pour mieux appréhender ce phénomène culturel.
Conçu pour les nostalgiques mais aussi pour les curieux de cet art numérique en pleine croissance, ce lieu aura comme objectif de démocratiser et promouvoir la culture vidéoludique auprès du grand public.
Pour que votre loisir préféré soit reconnu comme une culture à part entière, soutenez le Musée du Jeu vidéo !
Résumé
Où : au sommet de la Grande Arche de la Défense
Quand : ouvert 7 jours sur 7 de 10h à 19h ou de 10h à 20h (selon la saison) à partir du 14 avril 2010.
Comment s’y rendre : station Grande arche La Défense, Ligne 1 ou RER A
Tickets : Un billet donne accès à l’ensemble des expositions présentes sur le toit ainsi qu’au Musée de l’Informatique/ Tarifs : adultes – 10€ – enfants et étudiants – 8€50 / gratuit pour les enfants de moins de 6 ans & personnes handicapées. Pass Famille et Tarifs Groupe au 01 49 07 27 27 ou sur le site www.grandearche.com
Je me réjouis de cette initiative -qui pourtant nous vieillit un peu- et ai bien hâte de voir ce que proposera ce musée.
Et vous, qu’en pensez-vous ? Serez-vous là pour l’ouverture ?
Y’a des jours comme ça où on se dit qu’on ne mérite pas de telles attentions. Et y’a des jours tous les jours.
Je tiens donc à dire un gros merci à la talentueuse Maram pour son fanart KMG. Ca m’a beaucoup touchée.
Je vous invite à filer sur le site de cette talentueuse jeune fille. Voici quelques exemples de son coup de crayon mais la miniature ne lui rend pas honneur :
Beaucoup d’images et peu de texte, donc, mais je le répète : merci Maram 🙂
Gamerside, watisdat ?! Petite découverte de ce matin, sur mon Twitter et je peux vous assurer que cette bande de joyeux gamers vont aller loin dans l’univers du Podcast !
Rentrée chez moi, il est 18h52.
18h57, j’allume l’appareil photo.
18h59, mes petits doigts peuvent enfin tripoter l’emballage plastifié du jeu tant teasé, attendu, loué, conspué… Heavy Rain !
Je n’ai pas encore touché au jeu, mais déjà le coffret soigné attise ma curiosité qui atteint pourtant son summum depuis quelques heures.
Voici donc pour vous, sans plus attendre, quelques photos de ce qu’offre le coffret collector Heavy Rain.
Bon bhein c’est pas tout ça mais moi, maintenant, je vais jouer ! 🙂
Tous les moyens sont bons pour parler de Zombies chez KMG hein… Oui bon ok ! Mais cette fois-ci, c’est assez particulier car ce sont les personnages de Disney qui se sont fait Zombifier ! A voir !
Cette semaine est marquée par la sortie du très attendu Shutter Island, par les drames, la mode des interprétations littéraires, et les années 50-60′ !
Shutter Island
Shutter Island, c’est un peu « la » sortie du mois. D’abord, parce que le film est signé Scorcese (Taxi Driver, Les Affranchis). Ensuite, parce qu’au casting on ne retrouve rien de moins que Leonardo Di Caprio ainsi que plusieurs autres acteurs talentueux (Mark Ruffalo en est un exemple). Enfin, parce que l’intrigue a tout pour être captivante et angoissante.
Il faut dire qu’on nous a beaucoup teasés : affiches, reportages, bande-annonces… Y’a pas de soucis, on sait qu’il sort demain !
L’attrait pour le film peut paraître assez surfait puisqu’au fond le pitch est plutôt « classique ». En effet, le scénario se déroule dans les années 50′ et retrace l’enquête de deux inspecteurs suite à la disparition de l’une des patientes de l’asile situé sur l’île de Shutter. Cette femme, une ancienne meurtrière, s’est volatilisée dans des circonstances plus que surprenantes puisque sa cellule ne pouvait être ouverte que de l’extérieur. En outre, l’hôpital étant situé sur une île, elle n’a pas pu s’enfuir bien loin.
Le seul indice qu’elle laisse derrière elle : une feuille parsemée de codes que les deux hommes vont tenter de décrypter.
L’ambiance de huis-clos du film ainsi que le contexte hospitalier devraient servir au mieux l’aspect dramatique, psychologique et malsain recherché par le réalisateur.
Sachez enfin que Shutter Island répond à la manie hollywoodienne très en vogue dernièrement puisqu’il s’agit, une fois de plus, d’une adaptation d’un roman de Dennis Lehane. Ce nom vous est peut-être inconnu et pourtant, grâce à cet écrivain on a déjà eu droit aux deux perles que sont Gone Baby Gone et Mystic River. Deux valeurs sûres supplémentaires et plutôt engageantes pour ce dernier long-métrage de Scorcese !
A Single Man (Tom Ford)
A Single Man de Tom Ford (Quantum of Solace) est un drame américain, lui aussi inspiré d’un roman (de Christopher Isherwood).
Il aborde principalement les thèmes de l’homosexualité, du deuil et de la solitude. Rien de bien folichon, donc, mais si vous êtes en quête de sentimentalisme torturé et d’un jeu d’acteur de qualité, vous devriez trouver votre compte auprès de Colin Firth (Le patient anglais).
On a plutôt peu entendu parler de ce film dont le réalisateur s’est pour l’instant illustré sur un seul blockbuster.
Il a toutefois été particulièrement remarqué par la critique et dans les festivals. La Mostra de Venise a ainsi accordé en 2009 un prix d’interprétation masculine à Colin Firth, qui joue aux côtés de Julianne Moore (The Hours).
A voir pour les curieux et les amoureux de l’Amérique des années 60′ dans tout ce qu’elle a de plus glamour et d’insupportable.
Une éducation (Lone Scherfig)
Vous ne le devinerez jamais ! Une éducation est un drame inspiré d’un livre et se déroulant dans les années 60.
Trêve de plaisanteries : heureusement, ce troisième film se déploie dans un contexte plutôt différent des deux autres, sinon on aurait vraiment pu croire que les trois réalisateurs s’étaient passé le mot !
Alors à savoir tout de même que Lone Scherfig est une femme ! Elle a encore peu tourné pour l’instant (on lui compte 5 films au total) et s’illustre ici sur un thème déjà vu, mais sans cesse renouvelable ; l’éducation anglosaxonne des années 60.
Il s’agit d’une période anthropologiquement, historiquement et socialement cruciale pour les pays dits « modernes » puisqu’ils passent d’une époque aux codes stricts et sans faux-plis à une période révolutionnaire au niveau de l’évolution des mœurs : les Beatles, la guerre du Viêt-Nam, le Che, Marylin Monroe, les Rolling Stones… Le monde change, et ses habitants avec.
Une éducation aborde ainsi l’histoire de Jenny, une jeune anglaise de seize ans jouée par Carey Mulligan (Orgueil et préjugés), qui s’apprête à entrer à Oxford lorsqu’elle rencontre un homme deux fois plus âgé qu’elle, incarné par Peter Sarsgaard (Garden State). Leur idylle bouleverse tout et Jenny se voit obligée à faire face à certains choix de vie.
Ce film a remporté deux prix au Festival du film de Sundance 2009 : le prix de la meilleure réalisatrice, et celui de la meilleure photographie. Alléchant.
A voir également :
La Tisseuse de Wang Quan’an n’est, je vous rassure, ni anglo-saxon, ni inspiré d’un livre, et ne se déroule pas dans les années 60′ mais de nos jours ! Il n’en est toutefois pas plus amusant que les trois autres films… En effet, il raconte l’histoire d’une tisseuse chinoise qui décide de tout quitter du jour au lendemain ; famille, travail, etc. Ce long-métrage semble plutôt anodin, et les films étrangers indépendants sont loin d’être ma tasse de thé, mais la bande-annonce de celui-ci m’avait parlé pour une raison que j’ai encore du mal à expliquer. A l’image des trois précédents, il a également remporté plusieurs récompenses : le Prix FIPRESCI de la Critique Internationale et le Grand Prix Spécial du Jury au Festival des Films du Monde de Montréal 2009. Si vous voulez changer vos habitudes, donc, prêtez-vous au jeu du cinéma chinois qui sait nous surprendre et nous émouvoir quand on s’y attend le moins.