Un bon petit post lifestyle comme on les aime ! Et je vais tâcher de répondre à la question que tout le monde se pose ! Comment se débrouille Eskarina sur Left 4 Dead ? Hé bah… Je crois que j’ai la réponse.
Comme on dit, « En avril, ne te découvre pas d’un fil(m) » et pour cause : ce mois-ci est plutôt chargé ! Après le Choc des Titans on attend Kick Ass et Iron Man 2. Un mois plein de référence geekes ! Mais en attendant tout ça, voici les sorties sympa de la semaine.
Adèle Blanc-Sec (Luc Besson)
Que les désespérés de l’ancien Luc Besson (Léon, Le 5è élément) tendent l’oreille. Il se pourrait bien qu’il nous revienne, dans un sursaut de lucidité. En effet cette semaine sort un de ses nouveaux films qui devrait nous sortir des bourbeux et honteux souvenirs d’Arthur et les Minimoys. Cocorico ? Peut-être pas, et c’est ce que nous allons voir…
Le film éponyme nous plonge au début du XXè siècle et campe une jeune journaliste qui n’a pas froid aux yeux ; Adèle Blanc-Sec. Son seul but : embarquer pour l’Égypte afin d’y faire des découvertes à ramener en France. C’est ainsi qu’elle envoie à Paris un œuf dont éclot… un ptérodactyle vieux de 136 millions d’années. Mais ce n’est que le début des rencontres surprenantes ! Momies et autres affreuses créatures seront au rendez-vous dans un univers mêlant poésie, onirisme et humour.
Sachez que ce film n’est que le premier d’une trilogie mais n’est pas, certains l’auront déjà démasqué, une œuvre originale de Besson. En effet, il s’agit d’une adaptation de la BD du même titre créée par Jacques Tardi (Le Cri du Peuple). Une base de travail et d’inspiration sûre, donc, et particulièrement reconnue dans le milieu du neuvième art !
Reste à voir toutefois ce que le papa du Grand Bleu fera de tout ça. La bande annonce laisse sceptique mais les effets spéciaux et le retour au fantastique adulte du cinéaste français nous donnent envie d’espérer.
A savoir également qu’il s’agit du premier grand rôle de Louise Bourgoin, la Miss Météo complètement déjantée de Canal +.
N’hésitez pas à nous donner vos impressions !
Green Zone (Paul Greengrass)
Quand j’ai vu l’affiche de Green Zone aux arrêts de bus, j’ai cru qu’il s’agissait d’une pub pour un coffret DVD de la trilogie Jason Bourne. Et en fait nan. Rien à voir. Ou presque ! Et c’est ce qui explique ma confusion ; Green Zone est le dernier film de Paul Greengrass, le réalisateur de la-dite trilogie !
Et donc, non, je le répète : ce film n’a rien à voir avec Jason Bourne. Pourtant l’affiche pourrait laisser croire le contraire, d’autant que deux des titres de la trilogie y sont placardés… Bref.
Vous l’aurez saisi : le gars ne se renouvelle pas complètement par l’affiche, le thème et l’acteur, puisque l’on retrouve Matt Damon dans un film qui promet de sentir la poudre noire et le complot.
Le décor change toutefois un peu puisqu’il nous situe cette fois en plein Bagdad du début XXIè siècle. Dans ce contexte historique, un regroupement de militaires américain a pour mission de trouver des armes de destruction massive censées être stockées dans le désert iraquien. Ça ne vous rappelle rien ? En tout cas, tout ceci serait trop simple si ces hommes ne découvraient pas que derrière cette mission se cachait un prétexte et toute une mascarade digne des plus grande machinations. Vous avez tous compris : l’histoire tourne autour de l’occupation américaine en Irak et de la façon dont le gouvernement provisoire instauré par l’administration Bush s’est constitué d’amis loyaux du Président plutôt que de personnalités efficaces et capables sur le terrain. Au milieu de tout ça, beaucoup d’incompréhensions reflétées à travers ce long-métrage : pourquoi n’avoir placé personne à la tête du gouvernement irakien qui sache parler arabe ? Pourquoi n’avoir pas engagé des spécialistes de la reconstruction sociale d’après-guerre ?
Adapté d’un livre de Rajiv Chandrasekaran (Dans la zone verte : les américains à Bagdad), ce film d’histoire contemporaine qui pose beaucoup de questions auxquelles les spectacteurs devront trouver leurs propres réponses.
On sent ici que Greengrass confirme dans ce nouveau film (qui porte presque son nom) sa véritable vocation de cinéaste militant. C’est ainsi qu’il avait déjà parlé de sujets sensibles comme le 11 septembre et la guerre civile irlandaise avec ses précédents Vol 93 et Bloody Sunday. Mais avec les sujets traités toujours sous ce même angle (celui de la victime) ne cède-t-il pas à la facilité ? Greengrass ne se protège-t-il pas un peu trop grâce au politiquement correct qu’on pourrait presque assimiler à de la démagogie ? Il faudra voir Green Zone de ses propres yeux pour en juger…
Site officiel
A voir également :
Le Chasseur de primes avec Jennifer Aniston et Gerard Butler est une comédie américaine décérébrée comme on les aime en fin de semaine, quand on a le cerveau trop ramolli pour se taper un vrai film, mais qui fera toujours sourire. En somme, si vous avez envie de passer un moment agréable sans vous prendre la tête, foncez voir cette légèreté d’Andy Tennant (Hitch, Anna et le Roi) qui promet quelques scènes mêlant grand spectacle (quelque explosions pour contenter Monsieur) et humour potache (pour Madame, vous l’aurez compris). Le pitch est plutôt simple et met en scène un chasseur de prime qui se voit confier la mission de traquer son ex-femme, une journaliste qui s’est soustraite à la justice. Le rêve pour lui : un job gagné d’avance et qui en plus va lui permettre d’exercer une petite vengeance personnelle… Mais les choses se compliquent quand il constate que celle-ci est poursuivie par de dangereux criminels sur lesquels elle enquêtait pour son métier. Bon, je ne vous cache pas que malgré un scénario vu et revu, je reste attachée à ces deux acteurs et que c’est pour ça que j’en parle ici. A voir si vous avez déjà tout vu donc. Ou à regarder en DVD entre filles. Et, oui, un jour on reverra Butler dans un vrai film, j’en suis convaincue.
Comme je le signalais sur mon super planning, je suis allé hier soir au Bargaming. Pour ma première fois, ce fut plutôt une agréable surprise…
Si certains d’entre vous suivent l’actualité des J-RPG, ils auront sûrement entendu parler de The Last Story. Plus qu’une production nippone supplémentaire dans le vaste paysage des jeux de rôle, celui-ci pourrait bien apporter un nouvel espoir à ceux que Final Fantasy XIII a déçu.
D’ailleurs, ces deux licences sont intimement liées puisqu’on trouve à la tête de The Last Story Hironobu Sakaguchi, le créateur de la célébrissime saga Final Fantasy. En 2004, lorsqu’il décide de quitter Square Enix, il fonde son propre studio : Mistwalker. Sa vocation de conteur le pousse à prendre d’autres chemins et à offrir ses histoires sous d’autres auspices.
C’est ainsi qu’après un petit bout de chemin (Lost Odyssey, Blue Dragon) nous a été annoncé, il y a quelques semaines, The Last Story.
Les spécialistes se sont bien évidemment empressés, en voyant une telle annonce, de mettre en évidence les différents points commun qu’auront ce soft et la licence pour laquelle Sakaguchi a prêté son talent durant tant d’années. Pourquoi ? Certainement parce qu’au fond de chaque amoureux de Final Fantasy réside l’espoir qu’un jour on nous fera rêver à nouveau comme on savait le faire il y a 20 ans.
Mais revenons-en à ces nombreux points communs qui semblent agir pour certains comme une prophétie fébrile sur le point de se réaliser. Comme Final Fantasy, The Last Story sévira dans le milieu du jeu de rôle. Ensuite on notera un grand clin d’œil au niveau du nom : la fantaisie finale contre la dernière histoire… Enfin, on pourra constater un retour aux consoles Nintendo (comme Final Fantasy à son époque) puisque c’est sur Wii qu’il sera édité. Certains y voient même un « jeu de la dernière chance » pour le studio puisque The Last Story sort après plusieurs productions qualifiées de médiocres, de la même façon que pour Squaresoft avec la sortie de Final Fantasy sur NES au Japon à la fin des années 80′. On soulignera enfin un logo très inspiré de notre si chère saga : un titre noir et sobre sur un dessin en filigrane.
En ce qui concerne le background, il faudra bien évidemment s’attendre à quelque chose de très fouillé et d’onirique.
L’aventure sied sur l’île Luly. Située en marge des terres de l’Empire, cette île obéit aux ordres du comte d’Arganan. Sa localisation géographique en fait un point stratégique d’une haute importance, à tel point que toutes les richesses du royaume y sont conservées. Sa zone portuaire y accueille également moult navires commerçants, ce qui vaut à Luly d’être occupée par de nombreux et puissants soldats. A cette force militaire déjà conséquente s’ajoute un gigantesque canon posté sur les rivages, prêt à repousser toute menace éventuelle à l’encontre de l’île.
En marge de l’Empire d’un point de vue physique, l’île l’est également dans sa manière de fonctionner. Alors que les dirigeants de l’Empire ne cherchent qu’à s’enrichir continuellement et rendre leur position toujours plus confortable, le comte d’Arganan est habité par une ambition démesurée et semble bien plus inquiet pour l’avenir de son pays que l’insouciante lignée impériale, que la fortune a depuis longtemps détourné de leurs nombreuses responsabilités. Le métal étant rare dans l’univers de The Last Story, la magie y occupe une place extrêmement importante, car elle seule est assez puissante pour faire assoir une soif de pouvoir, chose sur laquelle le comte d’Arganan semble très renseigné. Mais la prospérité de l’île Luly semble être mise à mal. Alors que les habitants continuent à vivre paisiblement, des ombres maléfiques se rassemblent en masse, au large des terres qui ceinturent l’île. Un grand danger guette ce havre de paix mais sur l’île, personne ne s’en doute encore.
Si l’univers est donc déjà bien campé, on en sait toutefois très peu sur les personnages ou le gameplay. Seule chose qui a échappé aux développeurs du jeu : le réalisme des sensations recherché pour le jeu. Ne vous affolez toutefois pas, rien à voir avec un Mass Effect ou un Fable. Il faut entendre par là qu’un maximum de détails graphiques chercheront à renforcer l’immersion du joueur. Histoire de vous donner un avant goût esthétique de toute cela, voici quelques-uns des artworks qui ont été distillés depuis janvier :
Comme je le disais, pour le moment, les images et les infos sont distribuées au goutte à goutte. Si vous êtes curieux, ou que vous parlez japonais, je vous invite donc à vous plonger dans le site officiel qui recèle d’informations et d’images supplémentaires… Notamment d’un artwork qui pourrait bien mettre en scène les deux personnages principaux ! Ou alors s’agirait-il des avatars que l’on peut choisir d’incarner au départ de l’aventure ? Mystère, mystère… Vous le savez, les japonais connaissent bien les fans de JRPG et savent qu’il faut les faire saliver un max pour s’assurer un bon lancement. Quant à la date de lancement, elle est tout aussi vague : courant 2010, au Japon bien entendu ! Prions donc pour qu’il atteigne un jour le vieux continent…
Sources : Jeuxvideo.com – Mistwalker-Fr
The Last Story est produit par les studios Mistwalker et devrait sortir au Japon courant 2010. Il sortira exclusivement sur Wii.
Petite perle découverte récemment sur l’App Store… Angry Birds rejoint mon top 10 des MUST HAVE sur iPhone. Juste derrière Plants vs Zombies. Un jeu fun et coloré. Que demander de plus ?
L’actualité de Pockets Monsters a été assez riche ces derniers mois. Le remake des versions Gold x Silver ont fait plaisir aux fans mais n’apportent pas réellement de nouveau contenu et de réelles innovations dans le gameplay, juste des améliorations. Alors ?! Pockets Monsters Black & White apportera t’il un renouveau à cette licence qui perdure depuis plus de 14 ans ? Le point sur quelques rumeurs et des screens à la japonaise…