Même si cette fête doit être suivie par deux pelés et trois tondus ici bas, il n’y a pas de raison pour ne pas en parler. Et puis voilà quoi, c’est trop bien de s’déguiser.
Catégorie : Kiss My Stirp
Cédons à la tentation de faire un stirp sur ces foutus Angry Birds. C’est saaaaaaaale. Pas de bol, en plus, ils sont dans l’actualité, ayant récemment décidé de fricoter avec Star Wars. Vrai qu’un sabre laser rend automatiquement un truc classe, mais là, il y a comme overdose, non ?
Pour le stirp de cette semaine, j’ai mis Grom’ de côté (non mais), et ai rameuté Chase, sans son accord, pour parler de comics. En plus, le sujet et le déroulé de ce stirp m’ont été soufflés par le redoutable duo Little Yokai et Biscuit. Autant dire que j’ai pas foutu grand-chose. C’est du foutage de gueule, cette rubrique.
Et hop, un petit mot-valise à la Julien Bardakoff et Jean Baptiste Fleury, les deux traducteurs prolifiques pour Nintendo à l’époque d’Ocarina of Time, qui se permettaient des délires et du fun dans leurs textes. Les mecs, je vous kiffais.
Du fait, oui, un stirp sur Zelda, à nouveau, pour la trouze millième fois, au moins. Où on se prend encore à imaginer ce qu’on aurait pu s’épargner si le jeu permettait vraiment tout.
Vous devriez le savoir, dans les Kiss my Stirp on aime bien parler de jeux indés, chelous ou dont le cheminement créatif nous échappe. Curiosity appartient un peu aux trois catégories en même temps, avec un bonus « Capcom est une fiotte en matière de DLC ». Le principe, je vous laisse le découvrir ou vous en rappeler dans le stirp qui suit.
Hé ouais, j’en avais déjà parlé, mais là il fallait que je l’illustre : il y aura du poney dans ce stirp, qui se permet en plus l’outrecuidance d’être en anglais, parce que ça marchait pas du tout en français. Rassurez-vous, c’est comme les poneys : basique. Et plein de guimauve, aussi, oui.
Résumé de l’épisode précédent : vous étiez mort.
Sinon, Grom’ s’est cassé en laissant toutes ses consoles en plan. Toutes ? non, une portable s’est en allé avec le déserteur : le Game Gear.
Interactivité maximale ! L’intro dont VOUS êtes le héros.
Vous vous réveillez dans une chambre qui n’est pas la vôtre. Vous avez beau observer alentours, rien ne vous paraît familier dans cette pièce…
Quand il ne fait pas du kart, du tennis, du golf, du foot, qu’il ne se prend pas pour un docteur, une feuille de papier, un démolisseur, un fabricant de jouet, un peintre, un pâtissier, un archéologue, ou je ne sais encore quelle activité loufoque (genre marcher droit devant lui avec un saut sur la tête), Mario, ben, il saute partout et fait semblant d’être plombier. On peut pas lui en vouloir, ça rapporte gros.
Le lieu était calme. Peut-être trop. Cela aurait du lui compliquer la tâche, mais ses talents le mettaient bien au-delà de ces considérations. D’un geste svelte, presque irréel, il s’accrocha au bord de la fenêtre. Toujours sans un bruit, toujours sans hésitation. Sa cible, sa future victime, se trouvait là, de l’autre côté.